Au revoir là-haut, de Pierre Lemaitre, sera le livre du mois.

Cette activité intitulée «le livre du mois» a pour but de réunir tous les membres de la
communauté éducative autour d’un livre. Pour le mois de décembre on nous propose   « Au revoir là-haut » de Pierre Lemaitre. Nous espérons qu’il vous plaira et que vous apprécierez cette lecture.

En vous souhaitant une bonne lecture et  un JOYEUX NOËL.


Au revoir là-haut, Prix Goncourt, 2013



 "Pour le commerce, la guerre présente beaucoup d'avantages, même après."


Sur les ruines du plus grand carnage du XXe siècle, deux rescapés des tranchées, passablement abîmés, prennent leur revanche en réalisant une escroquerie aussi spectaculaire qu'amorale. Des sentiers de la gloire à la subversion de la patrie victorieuse, ils vont découvrir que la France ne plaisante pas avec ses morts...
Fresque d'une rare cruauté, remarquable par son architecture et sa puissance d'évocation, "Au revoir là-haut" est le grand roman de l'après-guerre de 14, de l'illusion de l'armistice, de l'État qui glorifie ses disparus et se débarrasse de vivants trop encombrants, de l'abomination érigée en vertu.

Dans l'atmosphère crépusculaire des lendemains qui déchantent, peuplée de misérables pantins et de lâches reçus en héros, Pierre Lemaitre compose la grande tragédie de cette génération perdue avec un talent et une maîtrise impressionnants.


Critiques presse

Le Figaro , le 05 août 2014

Un récit riche en rebondissements, rythmé et écrit au cordeau qui brosse un tableau cocasse et désenchanté de la France d'après-guerre [...].


Actualitté , le 05 décembre 2013

L'agitation est permanente, le suspense intense et si la mise en place de intrigue est peut être un peu lente (une bonne centaine de pages), ensuite le récit défile à vive allure, se déploie sans temps mort, passionne de bout en bout, déstabilise, étonne et exalte le lecteur. Entièrement comblé.

La Presse , le 26 novembre 2013

Un roman efficace pour peu que l'on accepte l'une de ses prémisses: celle d'un homme au visage arraché, qui refuse toute restauration faciale. Sorte de métaphore des victimes anonymes de toutes les guerres.

Le Soir , le 05 novembre 2013

Un livre scénarisé avec talent et écrit avec force. On ne le lâchera pas avant la dernière page.

Liberation , le 15 octobre 2013

Pierre Lemaitre, auteur de romans policiers passé au roman historique, a une conception facétieuse du suspense.

Les Echos , le 14 octobre 2013

Conteur né, Pierre Lemaître fait la part belle à l’action, au rebondissement, en n’oubliant jamais pour autant de soigner la psychologie et la restitution de l’époque. Fier hommage à Dumas, Balzac ou Gaston Leroux, l’ensemble se lit ventre à terre. Du grand art.

La Libre Belgique , le 30 septembre 2013

La belle surprise de cette rentrée littéraire. Un gros roman épatant et jouissif, jubilatoire à l’image de son auteur. Un livre éclairant aussi, qu’on ne lâche pas avant de l’avoir terminé.

LePoint , le 25 septembre 2013

Étonnant roman sur l'après 14-18, "Au revoir là-haut" fait partie de nos coups de coeur de cette rentrée, distingué par le prix des Libraires de Nancy-Le Point.

Bibliobs , le 19 septembre 2013

La guerre est une extravagance du commerce, avec cet avantage, magistral quand il est servi avec une telle fougue, une telle invention, qu'on n'y voit, précisément, que du feu.

Telerama , le 18 septembre 2013

Arnaques, vengeances et impostures : Au revoir là-haut est une oeuvre à la fois picaresque et politique, où l'on entend des accents de Roland Dorgelès et Jean Meckert.

Les Echos , le 04 septembre 2013

Jetez-vous sur le roman de Pierre Lemaître «Au revoir là-haut». Récit efficace, style impeccable, sens de l’humour et du tragique, c’est une réussite. De celles qui réconcilient la littérature populaire et la littérature tout court. De celles qui pourraient réconcilier le grand public avec le Goncourt.

Culturebox , le 02 septembre 2013

Au revoir là-haut s'organise autour d"une double arnaque et d'un double suspense, sur fond historique extrêmement documenté. Ajoutez-y une écriture sèche, mordante, précise, qui manie brillamment l'humour noir. Et vous comprendrez pourquoi, salué par la critique et plébiscité par les libraires, le livre s'annonce comme un des best-sellers de l'automne.

Le Figaro , le 30 août 2013

Les rebondissements sont multiples, et la chute, très réussie, tient à la fois de la tragédie antique et de l'histoire d'amour la plus émouvante. Grâce à une construction romanesque efficace, l'auteur parvient à sortir de la littérature de genre sans se renier le moins du monde.

L’express , le 30 août 2013

Auteur reconnu pour ses thrillers, Pierre Lemaitre change de cap et de dimension pour un roman saisissant, et politiquement incorrect, sur la Grande Guerre. Au revoir là-haut est un des temps forts de cette rentrée.

L’express , le 23 août 2013

Au revoir là-haut est un roman magnifique parce qu'il décrit sans la moindre concession l'étau dans lequel les poilus se retrouvèrent au lendemain de leur démobilisation. Albert Maillard fait partie de ces types qui, depuis qu'ils ont gagné la guerre, ont l'impression de la perdre un peu plus chaque jour. Quel choix leur reste-t-il? Lisez ce livre démesuré, vous en sortirez médusé

L’express , le 22 août 2013

De là à subodorer que ce pavé passionnant est bien placé pour recevoir quelque laurier... Ce ne serait que justice: franchement, Au revoir là-haut - hommage aux derniers mots écrits à sa femme par un soldat fusillé en 1914- confine au chef-d'oeuvre.

Le  Figaro , le 21 août 2013

Le style sec de l'auteur convient parfaitement à cette évocation sans concession d'une France plutôt encombrée par les survivants de la génération perdue. Lemaitre mitraille, les masques tombent.

L’express , le 14 août 2013

Pour cette première incursion hors du roman policier, Pierre Lemaître frappe un grand coup: captivant, profond, émouvant, Au revoir là-haut témoigne d'un immense talent d'écrivain.

LePoint , le 22 juillet 2013

Touffu, hyperdocumenté, le roman est bâti sur une intrigue très efficace, qui fait oublier ses quelques longueurs.

Si les deux hommes avaient été deux continents placés sur des plaques différentes, qui ne pouvaient se rencontrer sans déclencher des raz de marée. Elle avait tout vécu, assisté à tout.